Fransiz yazar Émile (Édouard Charles Antoine) Zola'nin olum yildonumu (29 Eylul 1902)
“Sanatcinin icinde iki tip insan vardir biri sair digeri de zanaatci. Biri sair dogar. Digeri zanaatci olur. / Il y a deux hommes à l'intérieur de l'artiste, le poète et l'artisan. On est né poète. On devient artisan.”
"Étienne ve Catherine, zavalli atin onlarin yanlarina gelmeye calisirken, kayalarin arasinda SIKISIP kaldigini gorduler. Carparak iki on ayagini kirmisti. Son bir gayretle birkac metre daha surulmustu, ama kalcalari gecmiyordu, toprak her yerini sarmalamis, onu birakmiyordu. Kanayan basini uzatti, kocaman actigi saskin gozleriyle, yeni bir cikis yolu aradi.
Su hizla onu kapliyordu, ahirda olen diger atlar gibi, acikli bir hiriltiyla kisnemeye basladi. Gun isigindan uzakta debelenirken, bacaklari kirilip, hareketsiz kalan bu ihtiyar atin can verisi korkunc oldu. Kederli cigligi susmak bilmiyor, yelesi sulara gomuluyor, alabildigince acip, ileri dogru uzattigi agzindan daha boguk bir inleme yukseliyordu. Dolan bir ficinin boguk gurultusunu andiran son bir hirilti isitildi. Sonra buyuk bir sessizlik oldu."
"Alors, Étienne et Catherine, comme il arrivait près d’eux, l’aperçurent qui s’étranglait entre les roches. Il avait buté, il s’était cassé les deux jambes de devant. D’un dernier effort, il se traîna quelques mètres ; mais ses flancs ne passaient plus, il restait enveloppé, garrotté par la terre. Et sa tête saignante s’allongea, chercha encore une fente, de ses gros yeux troubles.
L’eau le recouvrait rapidement, il se mit à hennir, du râle prolongé, atroce, dont les autres chevaux étaient morts déjà, dans l’écurie. Ce fut une agonie effroyable, cette vieille bête, fracassée, immobilisée, se débattant à cette profondeur, loin du jour. Son cri de détresse ne cessait pas, le flot noyait sa crinière, qu’il le poussait plus rauque, de sa bouche tendue et grande ouverte. Il y eut un dernier ronflement, le bruit sourd d’un tonneau qui s’emplit. Puis un grand silence tomba."
Yer İmleri